O terre, ô ciel, ô vous touts elementz,
O dure mort qui les humains dévie,
Je congnoys bien par voz faulx jugementz
Qu’avez conceu sur moy mortelle envie.
Osté m’avez un qui estoit ma vie,
Et sans lequel je ne vy qu’en mourant.
O Dieu puissant, soyez moy secourant :
Separez moy, du corps, l’ame dolente.
Ce me sera un tres doulx restaurant,
Car plus ne suis, estant de luy absente.